À l’occasion d’une rétrospective de ses œuvres Élaine Risely revient à Toronto où elle a vécu son enfance. L’exposition de ses toiles, en grande partie inspirées d’épisodes marquants de sa jeunesse, fait remonter ses souvenirs quand, avec Carole, Grace et surtout Cordelia, elles devenaient adolescentes. Compétition, mesquinerie, hostilité : Margaret Atwood décortique les rapports entre fillettes, la brutalité que, parfois, s’infligent mutuellement celles que la société pense douces et sages. Margaret Atwood livre un roman d’apprentissage qui explore la complexité de l’enfance, la construction de l’identité et la puissance de l’art, mais qui reste un peu plat, malgré l’intérêt des thèmes abordés.
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⭐ Margaret Atwood, Œil-de-chat (Cat’s eye), traduit de l’anglais (Canada) par Hélène Filion, éditions Pavillon poche, 2017 (1988), 673 pages, 12 €.
Du même auteur : Neufs contes & La servante écarlate.
Pour l’anglais au bac, les candidats avec un extraits de ce roman à lire et commenter… (et comme je surveillais, j’ai lu le texte qui m’a intéressée)
J’ai trouvé le sujet intéressant, mais le traitement un peu… « dilué » disons.
De l’excellent et du moins bon chez cette auteure.
Un peu déçue par celui-ci.
J’ai lu plusieurs romans d’Artwood, mais je ne me suis pas encore lancée dans celui-ci ! Il a l’air vraiment sympa.
J’ai été un peu déçue par ce roman-là, mais j’aime Atwood ! 😉